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Discours de métaphysique /

Extrait : ""La notion de Dieu la plus reçue et la plus significative que nous ayons, est assez bien exprimée en ces termes que Dieu est un être absolument parfait, mais on n'en considère pas assez les suites ; et pour y entrer plus avant, il est à propos de remarquer qu'il y...

Descripción completa

Detalles Bibliográficos
Clasificación:Libro Electrónico
Autor principal: Leibniz, Gottfried Wilhelm, Freiherr von, 1646-1716
Formato: Electrónico eBook
Idioma:Francés
Publicado: [Bruxelles] : Ligaran, 2015.
Temas:
Acceso en línea:Texto completo
Tabla de Contenidos:
  • Couverture
  • Page de Copyright
  • Page de titre
  • Préface
  • ±????±?Hortus conclusus ?
  • Description des sources du texte
  • Conventions typographiques
  • Extrait d'une lettre de Leibniz au Landgrave Ernest de Hesse
  • Rheinfels
  • Discours de métaphysique
  • I
  • De la perfection divine et que Dieu fait tout de la maniéré la plus souhaittable
  • II
  • Contre ceux qui soutiennent (d) qu'il n'y a pas de bonté dans les ouvrages de Dieu, ou bien que les réglés de la bonté et de la beauté sont arbitraires
  • III
  • Contre ceux qui croyent que Dieu auroit pù mieux faire
  • IV
  • Que l'amour de Lieu (c) demande une entiers satisfaction et acquiescence touchant (d) ce qu'il fait sans qu'il faille estre quietiste pour cela
  • V
  • En quoy consistent les regles de perfection de la divine conduite et que la simplicité des voyes est en balance avec la richesse des effects
  • VI
  • Dieu ne fait rien hors d'ordre et il n'est pas memes possible (d) de feindre (e) des évenemens qui ne soyent point reguliers
  • VII
  • Que les miracles sont conformes à l'ordre general quoy qu'ils soyent contre les maximes subalternes, et de ce que Dieu veut ou qu'il permet, par une volonté generale ou particuliere
  • VIII
  • Pour distinguer les actions de Dieu et des créatures, on explique en quoy consiste la notion d'une substance individuelle
  • IX
  • Que chaque substance singuliere exprime tout l'univers à sa maniere, et que dans sa notion tons ses evenements sont compris avec toutes leurs circonstances et toute ta suite des choses extérieures. (a)
  • X
  • Que l'opinion des formes substantielles a quelque chose de solide, mais que ces formes(c) ne changent rien dans les phenemeneset ne doivent point estre employées pour expliquer les effects particuliers
  • XI
  • Que les méditations des Théologiens et des philosophes qu'on appelle scholastiques ne sont pas à mépriser entierment.
  • XII
  • Que les notions (d) qui consistent dans l'étendue enferment quelque chose d'imaginaire et ne sçauroient constituer la substance des corps
  • XIII
  • Comme la notion individuelle de chaque personne renferme une fois pour toutes ce qui luy arrivera (a) jamais, on y voit les preuves a priori de la vérité de chaque événement, (b) ou pourquoy L'un est arrivé plus tost que l'autre
  • mais ces vérités quoique asseurées ne laissent pas d'estre contingentes estant fondées sur le libre Arbitre de Dieu ou des creatures (c) dont le choix a tousjours ses raisons qui inclinent sans nécessiter
  • XIV
  • Dieu produit diverses substances, selon les differentes veues qu'il a de l'univers, et (c) par l'intervention de Dieu, la nature propre de chaque substance porte que ce qui arrive à l'une répond à ce qui arrive à toutes les autres, sans qu'elles agissent immédiatement l'une sur l'autre
  • XV
  • (a) L'action d'une substance finie sur l'autre ne consiste que dans l'accroissement du degré de son expression, jointe à la diminution de celle de l'autre, autant que Dieu tes oblige de s'accommoder ensemble
  • XVI
  • Le concours extraordinaire de Dieu est compris (b) dans ce que nostre essence exprime, car cette expression s'etend à tout,
  • mais il surpasse les forces de nostre nature ou nostre expression distincte laquelle est finie, et suit certaines maximes subalternes
  • XVII
  • Exemple d'une maxime subalterne ou loy de la Nature. Où il est monstre que Dieu conserve tous jours la même force, mais non pas la même quantité de mouvement, contre les Cartésiens et plusieurs autres
  • XVIII
  • La distinction de la force et de la quantité de mouvement est importante entra autres pour juger qu'il faut recourir à des considérations métaphysiques séparées de retendue afin d'expliquer (d) les phenomenes des corps
  • XIX
  • Utilité des causes finales dans la physique.
  • XX
  • Passage remarquable de Socrate chez Platon contre les philosophes trop matériels
  • XXI
  • Si les regrles mécaniques dépendaient de la seule Geometrie sans la Métaphysique, les phenomenes seraient tout autres
  • XXII
  • Conciliation des deux voyes par les finales et par les efficientes pour satisfaire (a) tant à ceux qui expliquent la nature mechaniquement qu'à ceux qui ont recours à des natures incorporelles
  • XXIII
  • Pour revenir aux substances immatérielles, on explique comment Dieu agit sur l'entendement des esprits et si on a tousjours l'idée de ce qu'on pense
  • XXIV
  • Ce que c'est qu'une connoissance claire ou obscure
  • distincte ou confuse, adequate et intuitive ou suppositive
  • définition nominale, reelle, causale, essentielle
  • XXV
  • En quel cas nostre connoissanee est jointe à la contemplation de l'idée (c)
  • XXVI
  • Que nous avons en noustoutes les idées
  • et (d) de la réminiscence de Platon
  • XXVII
  • Comment (b) nostre ame peut estre comparée à des tablettes vuides, et comment nos notions viennent des sens
  • XXVIII
  • Dieu seul est l'objet immédiat de nos perceptions qui existe hors de nous, et (e) luy seul est nostre lumiere
  • XXIX
  • Cependant nous pensons immediatement par nos propres idées, et non par celles de Dieu
  • XXX
  • Comme Dieu incline nostre ame sans la nécessiter
  • qu'on n'a point (a) le droit de se plaindre, et qu'il ne faut point demander pourquoy (b) judas peche, (c) mais seulement pourquoy Judas le pecheur est admis à l'existence preferablement à quelques autres personnes possibles, (d) De l'imperfection originate avant te péché, et des degrés de la grâce.
  • XXXI
  • (d) Des motifs de l'election (e), de la foy preveue, de la science moyenne, du decret absolu et que tout se reduit à la raison pourquoy Dieu a choisi pour l'existence une telle personne possible, dont la notion enferme une telle suite de grâces et d'actions libres, ce qui fait cesser tout d'un coup les difficultés
  • XXXII
  • Utilité de ces principesen matiere de pieté et de religion
  • XXXIII
  • Explication de l'union de l'ame et du corps qui a passépour inexplicable ou pour miraculeuse et de l'origine des perceptions confuses
  • XXXIV
  • De la difference (d) des Esprits et des autres substances, âmes ou formes substantielles, et que l'immortalité qu'on demande importe le souvenir
  • XXXV
  • Excellence des Esprits, et que Dieu les considere preferablement aux autres creatures. Que les Esprits expriment plustost Dieu que te monde, mais que les autres subsstances expriment, plutostle mon de que Dieu
  • XXXVI
  • Dieu est le monarque de la plus parfaite république composée de tous les Esprits, et la félicité de cette cité de Dieu est son principal dessein
  • XXXVII
  • Jesus Christ a decouvert aux hommes le mystere et les loix admirables du Royaume des Cieux et la grandeur de la supreme félicité que Dieu préparé à ceux qui l'aiment.